Le Tribunal international de l’Alliance des nations autochtones – reconnu par le Canada sur une base nationale – a émis une ordonnance mondiale historique qui prend effet immédiatement dans le monde entier.
Par Nicolas Hulscher, MPH, uncutnews.ch, 13 octobre2025
Comme l’ont d’abord rapporté le Dr Joseph Sansone et Lisa Miron, dans un geste spectaculaire et historique, le Tribunal international de l’Alliance des nations autochtones (A.I.N.) a rendu une ordonnance et une déclaration selon lesquelles « les injections de nanoparticules d’ARNm sont en fait des armes biologiques et technologiques de destruction massive ».
Ce Tribunal constate et déclare par la présente que les « injections de nanoparticules COVID-19 » ou « injections de nanoparticules d’ARNm » ou « injections COVID-19 » répondent aux critères des armes biologiques et des armes de destruction massive en vertu de la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 (18 USC §175), de la loi sur les armes et les armes à feu §790.166 Fla. Stat. (2023), de la loi de 2004 sur la mise en œuvre de la convention canadienne sur les armes biologiques et à toxines et de la convention internationale sur les armes biologiques. Cette ordonnance et cette déclaration sont destinées à avoir un effet immédiat dans le monde entier ».

Il s’agit de la première déclaration judiciaire officielle d’une autorité internationale reconnue classant les produits à base d’ARNm COVID-19 comme des armes biologiques.
La déclaration complète de l’Alliance des nations autochtones peut être consultée ici:
Déclaration de l’A.I.N. sur les armes biologiques à ARNm (PDF, 581 KB)
Reconnaissance par le Canada
En décembre 2024, le ministère canadien des Relations Couronne-Indigènes et des Affaires du Nord (CIRNAC) reconnaît officiellement l’Alliance des nations autochtones, son traité et son tribunal international – un organe judiciaire composé de juristes de tous les continents.
Dans une lettre officielle datée du 13 décembre 2024, le Canada a confirmé que sa relation avec l’A.I.N. se fait de nation à nation et que le tribunal est donc reconnu comme une entité juridique souveraine en vertu du droit autochtone et du droit international.

Référence aux lois et études existantes
Cette déclaration va dans le sens d’une étude récemment publiée par Zywiec et al., qui a montré que les injections d’ARNm COVID-19 violent plusieurs accords internationaux, notamment la convention sur les armes biologiques, le code de Nuremberg, la déclaration d’Helsinki et la constitution des États-Unis.
Elle s’aligne également sur le projet de loi HF3219 de l’État du Minnesota, qui classe les injections d’ARNm et les produits connexes comme des armes de destruction massive en vertu de l’article 609.712 et interdit leur possession ou leur distribution dans l’État.
Portée historique
Il reste à voir si cette déclaration sans précédent débouchera sur des mesures juridiques ou gouvernementales concrètes. Mais elle crée un précédent juridique:
Un tribunal international reconnu par le Canada a officiellement désigné les injections d’ARNm COVID-19 comme des armes biologiques et technologiques de destruction massive, ce qui place clairement les gouvernements, les autorités sanitaires et les systèmes judiciaires du monde entier devant la responsabilité de réagir.
Avec des preuves scientifiques de plus en plus nombreuses, des initiatives législatives telles que la loi HF3219 du Minnesota, et maintenant ce jugement international de grande ampleur, le stade de la rupture semble avoir été atteint.
Nicolas Hulscher, MPH
Epidémiologiste et directeur administratif de la Fondation McCullough





