Pfizer savait que les nanoparticules lipidiques des injections s’accumuleraient dans les ovaires et traverseraient la barrière placentaire, compromettant le placenta et empêchant les nutriments d’atteindre le bébé in utero, explique Naomi Wolf, journaliste et PDG de DailyClout.
Les bébés venaient au monde prématurément et les femmes subissaient des hémorragies lors de l’accouchement.
Cela signifie également que les particules ont pénétré dans le sac amniotique et dans les membranes entourant les testicules des bébés garçons, selon les documents.
Les effets futurs sur ces petits garçons sont inconnus.
L’un des rapports les plus troublants dans les documents, dit-elle, est le rapport sur la grossesse et l’allaitement, « qui vous glacera l’âme ».
Le rapport décrit les effets sur les bébés allaités par des mères récemment vaccinées. La liste comprend, entre autres, la fièvre, les vomissements et l’œdème, c’est-à-dire le gonflement des tissus.
« Un bébé a eu des convulsions et est mort à l’hôpital d’une défaillance de plusieurs organes », a déclaré M. Wolf.
« Ces bébés étaient condamnés. Ils [Pfizer] savaient qu’ils empoisonnaient le lait maternel et, à ce jour, ils n’ont toujours pas dit aux mères vaccinées de ne pas allaiter. »
Le rapport contient également une description de deux bébés décédés in utero, a-t-elle dit, ce qui, selon Pfizer, était dû à l’exposition de la mère au vaccin.
Pfizer a envoyé à la FDA, le 20 avril 2021, le rapport sur la grossesse et l’allaitement détaillant les effets du vaccin sur les femmes et les bébés.
Deux jours plus tard, Rochelle Walensky, directrice du CDC, a donné une conférence de presse à la Maison Blanche, au cours de laquelle elle a déclaré aux femmes qu’il n’y avait pas de mauvais moment pour se faire vacciner contre le COVID-19, que ce soit avant, pendant ou après la grossesse.
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