Une nouvelle étude alarmante montre que le corps des personnes ayant reçu des injections d’ARNm COVID-19 peut devenir une « usine à vaccins ». L’étude, évaluée par des pairs et cosignée par le Dr Peter McCullough, cardiologue de renom, a été publiée dans le Journal of American Physicians and Surgeons (Journal des médecins et chirurgiens américains).
Source : Uncut-News.ch, 10 déc. 2024
Points clés de l’étude
Les chercheurs ont constaté que les personnes vaccinées produisent des quantités différentes de la protéine spike sur des périodes de temps variables, en fonction de facteurs génétiques, liés à l’âge, aux hormones, ainsi qu’au lot spécifique du vaccin. L’étude s’est principalement concentrée sur le vaccin ARNm de Pfizer, dont le processus de développement et d’approbation est examiné d’un œil critique.
Manipulation génétique et manque d’études de sécurité
Les injections d’ARNm sont décrites dans l’étude comme des technologies de modification génétique qui n’ont pas grand-chose à voir avec les vaccins conventionnels. Contrairement aux vaccins traditionnels, les « vaccins » à ARNm ordonnent aux cellules de produire directement la protéine du virus.
Les chercheurs critiquent le fait qu’aucune étude de sécurité complète n’a été réalisée pour analyser la distribution et les effets de la protéine Spike dans l’organisme. En particulier, il manque des données sur la génotoxicité, la cancérogénicité et les effets sur les femmes enceintes ou allaitantes. En outre, les autorités réglementaires auraient dû classer les injections d’ARNm comme des produits de thérapie génique, ce qui aurait entraîné des exigences réglementaires plus strictes. Au lieu de cela, elles ont été classées, à tort, comme des vaccins conventionnels.
Données d’autorisation incomplètes et lacunes dans les tests
L’étude a révélé de graves lacunes dans la procédure d’autorisation :
- Pfizer n’a pas mené d’études pharmacocinétiques et pharmacodynamiques sur la protéine spike, même si l’on savait qu’elle était toxique.
- Les études de distribution biologique ont été réalisées avec des protéines luciferase au lieu de la protéine spike réelle, ce qui pourrait fausser les résultats.
- Les études de toxicité ont été réalisées sur des rats Wistar-Han™, une espèce animale qui n’est pas adaptée à ce type d’études. On manque également de données sur la fertilité masculine et les risques à long terme, tels que le cancer.
Appel à un moratoire
Les auteurs appellent à un moratoire mondial sur l’utilisation des vaccins à ARNm, et idéalement à leur retrait complet du marché. Ils soulignent que c’est à l’industrie pharmaceutique, et non à des scientifiques indépendants, qu’il incombe de prouver la sécurité de ces interventions.
Conclusion
L’étude jette une lumière sombre sur le développement et l’autorisation des vaccins à ARNm. Elle souligne la nécessité d’une recherche complète et indépendante pour bien comprendre les dangers potentiels de ces nouvelles technologies et garantir la sécurité de la population.