COMMUNIQUÉ OFFICIEL
Buenos Aires, 5 février 2025 – La Présidence de la République informe que le Président Javier Milei a pris la décision d’interdire les traitements et les opérations de changement de sexe pour les mineurs.
L’idéologie du genre poussée à l’extrême et appliquée aux enfants par la force ou la coercition psychologique constitue une véritable maltraitance. Les enfants n’ont pas la maturité cognitive nécessaire pour prendre des décisions concernant des processus irréversibles qui, dans de nombreux cas, impliquent la mutilation d’organes sains et sont susceptibles d’entraîner la stérilité, des problèmes cardiovasculaires et des conséquences catastrophiques pour la santé mentale. C’est pourquoi des pays pionniers comme le Royaume-Uni, la Suède, la Finlande et, récemment, les États-Unis, font marche arrière et interdisent aux mineurs de subir ces procédures.
D’autre part, dans le cadre de la lutte frontale contre l’extrémisme de genre, le Président de la Nation décrétera également que le logement des détenus dans les prisons sera déterminé en fonction du sexe enregistré au moment de l’acte criminel, afin d’éviter que quiconque n’utilise l’excuse du changement de sexe pour demander un transfert de la prison dans laquelle il est détenu.
En outre, aucun homme ayant demandé à changer de sexe avant de commettre un crime ne peut être logé dans les prisons pour femmes s’il a été condamné pour des délits sexuels, la traite des êtres humains ou des crimes violents à l’encontre de femmes, ou si l’évaluation de la prison le détermine.
Ce gouvernement a été élu pour mettre fin aux privilèges et promouvoir l’égalité devant la loi. Mettre fin à la maltraitance des enfants dans le cadre d’un programme sexiste et mettre fin aux méfaits des criminels sont des étapes fondamentales dans cette direction.
Cabinet du président de la République argentine
Page 2
COMMUNIQUÉ OFFICIEL
Buenos Aires, 5 février 2025 – La Présidence de la République informe que le Président Javier Milei a pris la décision d’interdire les traitements et les opérations de changement de sexe pour les mineurs.
L’idéologie du genre poussée à l’extrême et appliquée aux enfants par la force ou la coercition psychologique constitue une véritable maltraitance. Les enfants n’ont pas la maturité cognitive nécessaire pour prendre des décisions concernant des processus irréversibles qui, dans de nombreux cas, impliquent la mutilation d’organes sains et sont susceptibles d’entraîner la stérilité, des problèmes cardiovasculaires et des conséquences catastrophiques pour la santé mentale. C’est pourquoi des pays pionniers comme le Royaume-Uni, la Suède, la Finlande et, récemment, les États-Unis, font marche arrière et interdisent aux mineurs de subir ces procédures.
D’autre part, dans le cadre de la lutte frontale contre l’extrémisme de genre, le Président de la Nation décrétera également que le logement des détenus dans les prisons sera déterminé en fonction du sexe enregistré au moment de l’acte criminel, afin d’éviter que quiconque n’utilise l’excuse du changement de sexe pour demander un transfert de la prison dans laquelle il est détenu.
En outre, aucun homme ayant demandé à changer de sexe avant de commettre un crime ne peut être logé dans les prisons pour femmes s’il a été condamné pour des délits sexuels, la traite des êtres humains ou des crimes violents à l’encontre de femmes, ou si l’évaluation de la prison le détermine.
Ce gouvernement a été élu pour mettre fin aux privilèges et promouvoir l’égalité devant la loi. Mettre fin à la maltraitance des enfants dans le cadre d’un programme sexiste et mettre fin aux méfaits des criminels sont des étapes fondamentales dans cette direction.
Original:X
