Que s’est-il passé au cours des trois dernières décennies pour que, sans raison apparente, les nouvelles générations n’aient PAS D’AVENIR ?
Il y a trente ans, tout jeune, homme ou femme, avec un minimum d’éducation, était capable de vivre en autarcie, c’est-à-dire de louer ou d’acheter un appartement modeste, de payer ses frais de subsistance et de partir en vacances quelques semaines par an. Aujourd’hui, c’est impensable pour la grande majorité des jeunes. Même s’ils ont une formation universitaire et quelques années d’expérience professionnelle, ils ne sont pas autonomes, ils doivent partager des appartements loués et arrivent à peine à joindre les deux bouts. Et ce, dans le meilleur des cas. Les autres jeunes doivent vivre avec leurs parents, sans aucune possibilité d’indépendance.
Tout cela ne s’est pas produit par hasard, mais dans le cadre d’un programme entièrement planifié. À travers des réformes du travail qui ont permis de licencier des millions de travailleurs dans des « conditions acceptables » et qui pourraient donner un mauvais exemple aux jeunes qui entrent dans le monde du travail, des politiques d’embauche où tout est permis, des crises préfabriquées, des dettes auprès des banques centrales… etc, nous sommes arrivés au moment présent.
Et maintenant, la grande question : que pouvons-nous faire ?
La première chose à faire est de ne pas accepter cette situation. Nous devons nous rappeler que nous sommes des ÊTRES SOUVERAINS et que, par le simple fait de naître sur cette planète, nous avons des droits inaliénables, qui ne peuvent nous être retirés. Nous avons le droit à une vie digne, à un travail digne, à fonder une famille et à l’entretenir. Cette pensée, nous devons l’intérioriser et l’intentionnaliser, rien qu’en faisant cela, nous faisons beaucoup ; c’est-à-dire que la non-acceptation de cette situation génère déjà une prise de conscience et, d’une certaine manière, nous façonnons la réalité.
Nous pouvons aussi faire des propositions pour changer ce modèle d’esclavage qui nous a été imposé et par lequel un très petit nombre de personnes accapare la majorité des richesses de la planète.
Ci-dessous, je fais ma proposition en cinq points :
1ère Elimination de la dette bancaire de tous les pays du monde auprès des Banques centrales (aux mains de l’ELITE) qui a été créée illégalement et illégitimement, en les poursuivant devant la déclarant odieuse et abominable (« c’est la théorie juridique, mise en pratique de nombreuses fois au cours de l’histoire, qui soutient que la dette extérieure d’un gouvernement contractée, créée et utilisée contre les intérêts des citoyens du pays, ne doit pas être remboursée et n’est donc pas exécutoire, car les emprunteurs auraient agi de mauvaise foi, en toute connaissance de cause, et donc de tels contrats – obligations ou contrats commerciaux – sont nuls et non avenus juridiquement. En tout état de cause, ces dettes pourraient être considérées comme personnelles, et ceux qui les ont contractées à titre personnel – qu’il s’agisse du monarque, du président, du directeur de la banque centrale nationale ou des ministres correspondants – seraient responsables, et non l’État dans son ensemble, et donc les citoyens »).
2ème version de l’énergie libre, propre, gratuite et illimitée découverte par Nikola Tesla : (« L' »énergie toroïdale » de Nikola Tesla fait référence à un concept développé par Tesla pour la génération et la transmission d’énergie sans fil, en particulier par l’utilisation de la résonance magnétique et de l’influence de la Terre en tant que partie intégrante du circuit. Au lieu d’envoyer de l’énergie électrique sous forme d’ondes électromagnétiques (comme le fait une bobine Tesla), Tesla pensait que l’énergie pouvait être « transportée » sous forme de champ magnétique vibrant, et les bobines toroïdales faisaient partie de son système pour y parvenir »). Des prototypes de génération d’énergie libre Tesla ont déjà été développés par divers ingénieurs honnêtes qui ont essayé de réaliser le rêve de Tesla, afin que l’humanité dispose d’une énergie libre, illimitée et gratuite qui permettrait le développement et non l’asservissement des êtres humains. Malheureusement, ils ont tous été réduits au silence, licenciés ou même tués.
3º Des machines qui travaillent pour l’humanité et non contre elle. Je ne suis pas contre la technologie, tant que la technologie n’est pas contre moi. Si les emplois humains sont remplacés par des machines, les machines doivent payer des impôts dans la même proportion que lorsque ces emplois étaient effectués par des êtres humains. Il serait nécessaire de créer l’impôt sur le rendement du travail et, par le biais d’une homologation du ministère de l’industrie (semblable à l’homologation des moteurs de véhicules qui sont payés en fonction de la puissance ou des chevaux), les entreprises qui les utilisent paient des impôts et que ces paiements soient consacrés au financement des pensions, de la santé, de l’éducation et des services publics de qualité, éliminant ainsi la charge fiscale actuelle sur les travailleurs.
4ème Une fois les mesures précédentes appliquées, réduction du temps de travail actuel de 8 heures à 4 heures ou moins, en multipliant le nombre d’emplois existants, afin que nous disposions de plus de temps libre pour les loisirs et pour nous consacrer à nos familles.
5º Remplacement du salaire minimum par un salaire minimum décent, qui permettrait de disposer d’un revenu suffisant pour mener une vie décente, conforme au coût réel de la vie. Salaire minimum décent = coût du logement (loyer moyen ou prêt hypothécaire + dépenses alimentaires de base + dépenses personnelles + dépenses personnelles…) Je n’inclus pas les dépenses énergétiques car elles ne sont plus censées être produites.
NOUS CRÉONS NOTRE PROPRE RÉALITÉ == QU’ATTENDONS-NOUS POUR LA CHANGER ?
Antonio P.
