Réponse de l’Alberta à la pandémie

Réponse de l'Alberta à la pandémie- 2

Le comité de travail albertain chargé de l’examen du vaccin COVID-19 a publié un rapport détaillé sur la réponse de la province à la pandémie. Le rapport remet en question la sécurité et l’efficacité des vaccins COVID-19, les mandats de masquage et l’approche globale de la province en matière d’intervention d’urgence. Intitulé« Alberta’s COVID-19 Pandemic Response« (Réponse de l’Alberta à la pandémie de COVID-19), il a été demandé par le premier ministre Danielle Smith en 2022 et il s’agit du seul examen de ce type au Canada. Le groupe de travail a identifié plusieurs problèmes critiques dans la gestion de la pandémie et propose des changements pour combler les lacunes de l’Alberta en matière de réponse à la pandémie et fournir un cadre pour gérer les futures urgences sanitaires tout en protégeant les droits individuels et en promouvant la transparence dans la prise de décision en matière de soins de santé.

Parmi les conclusions importantes du rapport figure la « défaillance critique » de la messagerie COVID-19 au sein du système de soins de santé.

Les masques recommandés étaient en réalité inefficaces, n’empêchaient pas la transmission du virus et étaient nocifs.  » Il est inexact de suggérer que le port du masque est totalement sûr et qu’il offre une protection efficace contre l’infection par le SRAS-CoV-2″, indique le rapport. » L’efficacité du masquage pour prévenir la transmission virale reste un domaine d’étude contesté, mais un très grand nombre de recherches ont établi que le masquage en dehors des établissements de santé n’offre pas de protection statistiquement significative contre la transmission.

Les politiques de confinement ont entraîné des coûts sociales et économiques importants sans pour autant réduire de manière substantielle la transmission.

Le groupe de travail n’a trouvé aucune preuve de la supériorité des vaccins par rapport à l’immunité naturelle. La sécurité et l’efficacité des vaccins COVID-19, en particulier pour les groupes à faible risque, sont remises en question et les auteurs demandent l’arrêt de l’utilisation du vaccin COVID-19 à moins que les risques des injections ne soient entièrement divulgués, ainsi que l’arrêt de l’utilisation du vaccin chez les enfants et les adolescents en bonne santé. Le rapport reproche aux organismes de réglementation de ne pas procéder à des examens indépendants des études et des données, souligne les incohérences dans l’utilisation des preuves pour les vaccins par rapport à des traitements comme l’ivermectine et demande des recherches supplémentaires sur l’efficacité des vaccins et un soutien adéquat aux personnes ayant subi des lésions causées par les vaccins.

Sur la base de ses conclusions, le groupe de travail a formulé plusieurs recommandations. Il s’agit notamment de prévoir un mécanisme de non-participation aux politiques fédérales de santé publique afin de protéger les droits des Albertains aux soins et au consentement éclairé. Le rapport suggère de modifier la loi sur les professions de santé (« Health Professions Act ») afin d’empêcher les organismes de réglementation d’utiliser le « professionnalisme » ou les « codes de conduite » ou toute autre forme de poursuites ou de mesures disciplinaires pour empêcher les professionnels de la santé ou les pharmaciens d’utiliser, de promouvoir ou de discuter publiquement des avantages des médicaments approuvés pour le traitement de maladies hors AMM, afin de mieux protéger les droits des médecins à prescrire et les capacités des pharmaciens à délivrer des médicaments qu’ils jugent, selon leur conscience professionnelle, être dans le meilleur intérêt du patient, y compris les médicaments hors AMM et les produits de santé naturels.
Le rapport recommande également que, même en cas d’urgence de santé publique, des normes de sécurité rigoureuses soient maintenues pour tous les traitements, tout en permettant une plus grande flexibilité pour les thérapies dont la sécurité est bien établie.

Une loi sur les lanceurs d’alerte doit être adoptée afin de protéger le droit d’un médecin à exprimer publiquement ses préoccupations concernant les politiques potentiellement dangereuses ou mal conçues, adoptées par les organismes de réglementation de la santé publique ou les organisations de gestion des établissements médicaux, afin de modifier la loi actuelle ou de préparer une nouvelle loi qui rend le débat public sur les traitements médicaux alternatifs une zone protégée par la loi sur les droits de l’homme de l’Alberta.

Le groupe de travail demande également que les médias soient tenus de divulguer publiquement tout intérêt politique ou financier concurrent susceptible d’influencer leurs reportages sur les questions de santé, y compris de divulguer publiquement la valeur monétaire et les conditions de leurs contrats en matière de santé publique et de produits pharmaceutiques.

Télécharger le rapport du groupe de travail albertain chargé de l’examen du COVID-19

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