Un groupe d’experts demande l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm dans dix pays européens.

Un groupe d'experts demande l'arrêt immédiat des vaccins à ARNm dans dix pays européens.- 2

Source : Les enquêtes de Sonia Elijah, 27 novembre 2024

Le 25 novembre, une coalition de centaines de politiciens internationaux, d’experts médicaux de premier plan et de professionnels a envoyé un avis d’extrême préoccupation aux chefs d’État de dix nations européennes : le Danemark, l’Estonie, la Finlande, le Groenland, l’Islande, la Lettonie, la Lituanie, la Norvège, la Suède et le Royaume-Uni. Quelle était leur demande pressante ? La suspension immédiate de l’utilisation des vaccins à ARNm modifié, en invoquant de graves risques pour la santé.

La lettre a été préparée par le North Group, qui a été créé pour sensibiliser aux dangers potentiels des ARNm modifiés à des fins thérapeutiques.

Un groupe d'experts demande l'arrêt immédiat des vaccins à ARNm dans dix pays européens.- 3

Un extrait de la lettre se lit comme suit :

« Nous souhaitons attirer votre attention sur trois questions essentielles concernant le déploiement des produits à base d’ARNm modifiés COVID-19, qui ont de profondes implications pour la santé des citoyens de nos nations.

Les vaccins COVID-19 n’ont jamais été testés quant à leur capacité à bloquer la transmission virale. Par conséquent, les organismes de réglementation des produits médicaux, ainsi que les gouvernements et les organismes gouvernementaux, ont induit les gens en erreur afin de les contraindre à accepter ces produits.

Les vaccins COVID-19 ont entraîné un nombre sans précédent d’effets secondaires signalés, y compris des décès. Des analyses reproductibles des données publiques montrent que le choix du lot reçu par une personne et les effets secondaires qu’elle a pu subir relèvent de la loterie.

Les analyses effectuées par de nombreux scientifiques indépendants mettent en évidence des niveaux variables et excessifs d’ADN plasmidique résiduel dans les flacons des produits Pfizer et Moderna. Cet ADN étranger est un sous-produit des processus de fabrication et n’aurait jamais dû se retrouver dans les flacons commerciaux ».

En outre, elle souligne en gras : « L’introduction d’ADN étranger dans les cellules par le biais de nanoparticules lipidiques (LNP) peut endommager l’ADN humain et entraîner une instabilité génomique, un cancer et d’autres affections extrêmement graves ».

La lettre du Groupe Nord peut être téléchargée ci-dessous.

Le résumé scientifique à l’appui de la lettre de préoccupation adressée aux Premiers ministres et aux organes directeurs des pays nordiques et baltes et du Royaume-Uni peut être téléchargé ci-dessous.

Le jour même de l’envoi de la lettre du Groupe Nord, le docteur Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer, a expliqué sur X comment son laboratoire avait confirmé que l’ADN plasmidique présent dans les matrices d’ARNm peut s’intégrer dans le génome de cellules normales.

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